pour sœur notre mère la Terre, qui nous porte et nous nourrit,
qui produit la diversité des fruits,
avec les fleurs diaprées et les herbes.
Pour réfléchir...
Les ressources de notre planète ne sont pas illimitées et elles sont destinées à tous. Nous pouvons penser que notre action ou nos efforts sont dérisoires au regard de l’ensemble de l’humanité, mais notre manière de vivre peut nous inciter à plus nous préoccuper de ceux qui nous entourent ce qui constitue première étape de la charité véritable. Notre manière de consommer à des répercussions sur notre relation aux autres et par conséquent sur notre vie spirituelle. Les produits industriels peuvent simplifier la cuisine, mais ils sont en général moins bons pour la santé et génèrent de nombreux emballages en plastique. Dans la mesure où nous en avons la possibilité, nous pouvons aussi consacrer un petit emplacement du jardin pour faire pousser quelques légumes. Notre consommation de nourriture, est en général supérieure à nos véritables besoins, ce qui est vrai dans d’autres domaines de notre vie. Quoiqu’il arrive, il est aussi toujours plus grave de jeter de la nourriture que de manquer.
Cette vigilance dans les domaines de la vie quotidienne conduit à une plus grande attention au monde qui nous entoure et à ceux que nous croisons. Le Pape nous rappelle : « Il ne faut pas penser que ces efforts ne vont pas changer le monde. Ces actions répandent dans la société un bien qui produit toujours des fruits au-delà de ce que l’on peut constater, parce qu’elles suscitent sur cette terre un bien qui tend à se répandre toujours, parfois de façon invisible. En outre, le développement de ces comportements nous redonne le sentiment de notre propre dignité, il nous porte à une plus grande profondeur de vie, il nous permet de faire l’expérience du fait qu’il vaut la peine de passer en ce monde.» (LS 212)
Cette vigilance dans les domaines de la vie quotidienne conduit à une plus grande attention au monde qui nous entoure et à ceux que nous croisons. Le Pape nous rappelle : « Il ne faut pas penser que ces efforts ne vont pas changer le monde. Ces actions répandent dans la société un bien qui produit toujours des fruits au-delà de ce que l’on peut constater, parce qu’elles suscitent sur cette terre un bien qui tend à se répandre toujours, parfois de façon invisible. En outre, le développement de ces comportements nous redonne le sentiment de notre propre dignité, il nous porte à une plus grande profondeur de vie, il nous permet de faire l’expérience du fait qu’il vaut la peine de passer en ce monde.» (LS 212)
Pour agir...
Prenons le temps de préparer un repas et de le partager avec ceux qui nous entourent en veillant à limiter les déchets. Acheter en vrac limite les déchets et évite le gaspillage en ajustant la quantité dont nous avons besoin. Pourquoi ne pas aussi (re)découvrir la valeur du jeûne, pour notre corps, notre esprit et pour l’environnement ? Nous pouvons privilégier des achats éthiques, qui respectent les producteurs et qui tiennent compte de l’origine des produits.
Pour prier...
Dn 1, 3-5, 8-12
Le roi Nabucodonosor ordonna à Ashpénaz, chef de ses eunuques, de faire venir quelques jeunes Israélites de race royale ou de famille noble.
Ils devaient être sans défaut corporel, de belle figure, exercés à la sagesse, instruits et intelligents, pleins de vigueur, pour se tenir à la cour du roi et apprendre l’écriture et la langue des Chaldéens.
Le roi leur assignait pour chaque jour une portion des mets royaux et du vin de sa table. Ils devaient être formés pendant trois ans, et ensuite ils entreraient au service du roi.
Daniel eut à cœur de ne pas se souiller avec les mets du roi et le vin de sa table, il supplia le chef des eunuques de lui épargner cette souillure. Dieu permit à Daniel de trouver auprès de celui-ci faveur et bienveillance.
Mais il répondit à Daniel : « J’ai peur de mon Seigneur le roi, qui a fixé votre nourriture et votre boisson ; s’il vous voit le visage plus défait qu’aux jeunes gens de votre âge, c’est moi qui, à cause de vous, risquerai ma tête devant le roi. »
Or, le chef des eunuques avait confié Daniel, Ananias, Azarias et Misaël à un intendant. Daniel lui dit :
« Fais donc pendant dix jours un essai avec tes serviteurs : qu’on nous donne des légumes à manger et de l’eau à boire.
Tu pourras comparer notre mine avec celle des jeunes gens qui mangent les mets du roi, et tu agiras avec tes serviteurs suivant ce que tu auras constaté. »
L’intendant consentit à leur demande, et les mit à l’essai pendant dix jours.
Au bout de dix jours, ils avaient plus belle mine et meilleure santé que tous les jeunes gens qui mangeaient des mets du roi.
L’intendant supprima définitivement leurs mets et leur ration de vin, et leur fit donner des légumes.
Le roi Nabucodonosor ordonna à Ashpénaz, chef de ses eunuques, de faire venir quelques jeunes Israélites de race royale ou de famille noble.
Ils devaient être sans défaut corporel, de belle figure, exercés à la sagesse, instruits et intelligents, pleins de vigueur, pour se tenir à la cour du roi et apprendre l’écriture et la langue des Chaldéens.
Le roi leur assignait pour chaque jour une portion des mets royaux et du vin de sa table. Ils devaient être formés pendant trois ans, et ensuite ils entreraient au service du roi.
Daniel eut à cœur de ne pas se souiller avec les mets du roi et le vin de sa table, il supplia le chef des eunuques de lui épargner cette souillure. Dieu permit à Daniel de trouver auprès de celui-ci faveur et bienveillance.
Mais il répondit à Daniel : « J’ai peur de mon Seigneur le roi, qui a fixé votre nourriture et votre boisson ; s’il vous voit le visage plus défait qu’aux jeunes gens de votre âge, c’est moi qui, à cause de vous, risquerai ma tête devant le roi. »
Or, le chef des eunuques avait confié Daniel, Ananias, Azarias et Misaël à un intendant. Daniel lui dit :
« Fais donc pendant dix jours un essai avec tes serviteurs : qu’on nous donne des légumes à manger et de l’eau à boire.
Tu pourras comparer notre mine avec celle des jeunes gens qui mangent les mets du roi, et tu agiras avec tes serviteurs suivant ce que tu auras constaté. »
L’intendant consentit à leur demande, et les mit à l’essai pendant dix jours.
Au bout de dix jours, ils avaient plus belle mine et meilleure santé que tous les jeunes gens qui mangeaient des mets du roi.
L’intendant supprima définitivement leurs mets et leur ration de vin, et leur fit donner des légumes.
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