On peut attendre les vacances comme un temps de déconnexion bienvenu : pour beaucoup, cela sonnera comme une évidence. Mais on peut y trouver mieux encore : un temps de reconnexion fondamentale, quand nous sentons que nos batteries sont presque déchargées.
Qu’avons-nous besoin de regagner avant tout ? Pour chacun de nous, il revient de discerner : que manque-t-il d’essentiel dans notre vie ? Que demandons-nous vraiment à Dieu ? Comment nous disposons-nous à le recevoir ? Il existe cependant un besoin prioritaire qui nous concerne tous : c’est le besoin de paix.
Cette aspiration dépasse la simple nécessité d’écarter le stress et les conflits. Dans la sagesse biblique, le besoin de paix est un besoin vital de plénitude, pour nous-même et pour les autres. Car la paix est donnée pour faire tache d’huile. « Trouve-la paix, et des milliers seront sauvés », dit un grand mystique orthodoxe, Séraphim de Sarov. Mystérieusement, de notre quête personnelle dépend la délivrance de beaucoup.
Dans notre entourage et au-delà, nous ne pourrons pas faire la paix avec les autres, si nous ne trouvons pas la paix en nous-mêmes. Il ne s’agit pas seulement de reconnaître humblement, lucidement nos faiblesses et nos contradictions. Tout l’enjeu est d’accueillir la compassion inconditionnelle du Christ pour les pécheurs, sans la confondre avec la complaisance pour les péchés. Finalement, il s’agit de faire sincèrement la paix avec Dieu.
« Faites une pause et voyez que je suis Dieu », nous redit le Psaume. Reconnectons-nous au Seigneur pendant ces vacances, laissons-le nous remplir, et les moments les plus intenses ne seront plus les épisodes de stress et de malentendus, mais les moments de paix partagée - de communion.
Cette aspiration dépasse la simple nécessité d’écarter le stress et les conflits. Dans la sagesse biblique, le besoin de paix est un besoin vital de plénitude, pour nous-même et pour les autres. Car la paix est donnée pour faire tache d’huile. « Trouve-la paix, et des milliers seront sauvés », dit un grand mystique orthodoxe, Séraphim de Sarov. Mystérieusement, de notre quête personnelle dépend la délivrance de beaucoup.
Dans notre entourage et au-delà, nous ne pourrons pas faire la paix avec les autres, si nous ne trouvons pas la paix en nous-mêmes. Il ne s’agit pas seulement de reconnaître humblement, lucidement nos faiblesses et nos contradictions. Tout l’enjeu est d’accueillir la compassion inconditionnelle du Christ pour les pécheurs, sans la confondre avec la complaisance pour les péchés. Finalement, il s’agit de faire sincèrement la paix avec Dieu.
« Faites une pause et voyez que je suis Dieu », nous redit le Psaume. Reconnectons-nous au Seigneur pendant ces vacances, laissons-le nous remplir, et les moments les plus intenses ne seront plus les épisodes de stress et de malentendus, mais les moments de paix partagée - de communion.
Père Guillaume Leclerc.